Une gueule sensuelle et sans suite

« Les femmes sont belles quand elles sont fortes. » a affirmé l'actrice U.S. Jodie Foster. Verabelle n'est ni bruyante, ni provocatrice. Elle est discrète mais tout aussi puissante. Et ce visage pâle et solaire à la fois, où deux yeux ronds intenses vous électrisent et semblent vous dire : « Je veux être seule. » Seule, Verabelle l'est, elle est peu loquace et fuit les mondanités, maintenant secrète sa vie privée, craignant le trouble. Est-elle heureuse ? Parfois, je pense. C'est de ce mystère, mêlé à une apparente froideur, qu'est sans doute née ma fascination pour elle. Elle a gagné son indépendance et sa liberté. Verabelle est une solitaire, arbore des vêtements noirs et attire quelques critiques...

Il est l'auteur de 36 titres distribués chez deux éditeurs. Son style est marqué par une évolution : sa première période se distingue par un malaise existentiel. Sa seconde période révèle une renaissance. Ses textes, très intimes et atypiques, touchants et troublants, sont rassemblés dans des récits ou d'autres formes narratives, qui symbolisent la quintessence de sa vie.