"[...| Et puis nous savons que les femmes de mauvaise vie n'ont jamais attiré la tranquillité d'un quartier. Je le sais aussi. Mais un sage dirait que toute personne a sa propre histoire, ses propres idéaux et déceptions, et qu'il appartient à chaque personne d'adapter son propre raisonnement. Il faut respecter cela... Nous devons sans cesse nous améliorer. Par exemple, moi, je suis un perpétuel frustré sexuellement et cela influe beaucoup sur mon humeur agressive et stupide. J'aimerais beaucoup corriger ce gênant défaut."

L'auteur signe son 41ème titre presque en gageure pour lui-même. A raison de vouloir se changer lui-même, c'est peut-être un idéalisme personnel en trop qui lui dicte ici un temps faible pour changer sa vie...