Dans la veine de ses deux romans précédents – description de situations cocasses, inattendues et dramatiques à la fois –, dans un style incisif, précis et original, l’auteur se complaît cette fois à se mettre dans la peau d’une mère de famille séparée de celle-ci et dont le sort dépend d’elle.
<i>Une maison bruxelloise</i> est le troisième roman de Valentine de le Court, après
<i>Explosion de particules</i> et
<i>Vacances obligatoires en famille</i>.

« Si Paulo avait été autre chose qu’un pauvre type, Maria-Fernanda n’aurait pas dû quitter le Brésil et jamais elle n’aurait posé les pieds dans une maison bruxelloise. Hélas pour elle, il était le champion du monde des abrutis. »

Mère de famille, devenue femme de ménage par nécessité, Maria-Fernanda sera engagée de façon rocambolesque pour s’occuper de la demeure d’une famille énigmatique dont les membres se laisseront peu à peu approcher au travers d’un foulard parfumé, d’un vase ou d’une lettre oubliée.

Mais que lui veulent-ils en définitive ? Que cherche Maria-Fernanda dans les couloirs ? La réalité a-t-elle quoi que ce soit en commun avec ses rêveries ?

À PROPOS DE L'AUTEUR

<b>Valentine de le Court</b> est belge et juriste. D’aucuns prétendent qu’elle a usé dix-sept paires de chaussures sur des parquets de danse, c’est dire si elle peut parler avec expérience de choses futiles!

<i>Explosion de particules</i> est son premier roman.

Ont suivi
<i>Vacances obligatoires en famille</i> et, dernièrement,
<i>Une maison bruxelloise</i>.